Bouillon République
Restaurant — Enfants-Rouges (Paris)



À propos
Bouillon République, a celebrated offshoot of the successful Bouillon Pigalle, offers traditional French cuisine at remarkably affordable prices in a lively, bustling setting. Located in the former Chez Jenny space, the restaurant provides classic dishes like beef bourguignon and escargots for under 20€ per person, attracting both locals and tourists with its generous, homestyle cooking and convivial atmosphere.
Mentions
Bouillon République, l'adresse française bouillonnante - Sortiraparis ...
Bouillon République, l'adresse française bouillonnante Du nouveau du côté deRépublique! Après avoir régalé les Parisiens en livraison pendant les différents confinements, leBouillon Républiquea enfin ouvert ses portes à la rentrée. Ouvert en lieu et place del'institution alsacienne Jennyréputée pour ses choucroutes gargantuesques,Bouillon Républiquea gardé de l'établissement précédent lecharme de l'ancien, à grand renfort de panneaux en bois sculpté, de moquette à motifs floraux et de lampes globes. Mais désormais, laformule a changé.Exit les montagnes de charcuteries et les kilos de chou, désormais cepetit frère duBouillon Pigalles'inscrit dans lajuste lignée des bouillons parisienset propose unecuisine française traditionnelle et abordablepour tous les portes-monnaie. Au rez-de-chaussée, sur l'une desgrandes tabléesidéales pour les groupes d'amis, ou bien à l'étage, sur unepetite table plus confidentielle, on s'installe dans lebrouhaha généralannonciateur d'un bon moment. A la carte, desentrées qui ne dépassent pas 9€parmi lesquelles les traditionnels oeufs mayonnaise (1,90€) également proposés en version truffée, les poireaux vinaigrette (3,40€), l'os à moelle (3,80€), la demi-douzaine d'huitres (6€) ou encore les incontournables escargots et leur beurre maître d'hôtel (7€). Le choix est dur en ce qui concerne le plat tant cespropositions traditionnellesnous rappellent à tous debons moments passés en famille, qu'il s'agisse de la choucroute Jenny en hommage à la vie d'avant du lieu (9,80€), de la soupe à l'oignon gratinée au Cantal (8,50€) que tant de touristes nous envient, du confit de canard et pommes de terre sarladaises (11,50€) et bien évidemment de la saucisse couteau et purée (8,90€). Pour notre part, on opte pour lehaddock poché à l'anglaise au beurre blanc(13,50€), trèsgénéreusement serviet original à la carte d'un bouillon, et pour l'incontournablebœuf bourguignon(9,80€) accompagné de coquillettes. Une bouteille de Ventoux AOP (10,20€ !) plus tard, nous voilà prêts à passer auxdesserts, eux-aussi d'inspiration très tradi :tarte citron(3,60€) d'une part,ile flottante aux pralines roses(3€) de l'autre. Ca passe tout seul. Bref, vous l'aurez compris : auBouillon République, on savoure unemultitude de plats réconfortants, idéal pour passer un hiver de rêve, le toutpour pas cher. La solution pour unrepas généreux, fait-maisonet à partir debons produitspour moins de 20€ par personne avec entrée/plat/dessert ! Information à destination des groupes, petits ou grands, qui réservent une table au Bouillon République: Le restaurant ne vous laisse pas entrer tant que vous n'êtes pasau complet. Veillez donc à arriver à l'heure, afin d'éviter à vos amis de devoir poireauter de longues minutes, dans le froid ou sous la pluie. Ce test a été réalisé dans le cadre d’une invitation professionnelle. Si votre expérience diffère de la nôtre, merci de le signaler. Référencez votre établissement, cliquez iciCommuniquez sur votre évènement, cliquez ici LieuB...
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Bouillon République, retour à la choucroute
Bouillon République, retour à la choucroute Après son carton à Pigalle, le Bouillon remet le couvert avec des plats réconfortants, une ambiance typique et une addition toujours aussi bon marché . Fallait pas vraiment être devin pour savoir qu’à peine cinq ans après leur carton à Pigalle, les frangins Moussié allaient bisser leur bouillon. C’est qu’en ressortant ce vieux pot, le duo a compris qu’il tenait mieux qu’une bonne recette. Le genre colle à Paname comme il cause à l’époque: rapide, vivant, si peu cher qu’on s’interdit de la ramener et judicieux à disposer ces plats de bistrot comme du domestique que nos bistrots ont un peu oublié et que nos chez-soi ne savent plus faire. Manquaient le quartier large d’épaules et l’adresse suffisamment plantureuse pour encaisser les appétits en marée propices à l’affaire. La Répu était dispo, Chez Jenny aussi, longue légende de brasserie (un soir, même, sulfureuse) qui finira par nous manquer. En attendant, c’est reparti côté bouillon, deux étages, 400 couverts et mieux vaut débarquer à midi pétante pour ne pas avoir à se manger l’autre spécialité maison: la file d’attente. À lire aussiLes meilleurs burgers de Paris à découvrir Génie de boiseries. Et le lieu soudain moins alsacien, plus parisien… Cet article est réservé aux abonnés.Il vous reste 70% à découvrir. J-100, Le Figaro fête ses 200 ans Offre anniversaire : 2€/mois pendant 200 semaines Déjà abonné ?Connectez-vous Copier le lienLien copié Abonnez-vous au Figaro Style sur Instagram : l’art de vivre selonLe Figaro
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Bouillon République (Paris 3) : Rendez-nous Jenny ! - Restos sur le ...
Bouillon République (Paris 3) : Rendez-nous Jenny ! Par Arnaud Morisse Avec le succès colossal rencontré par le Bouillon Pigalle, il était logique qu'une deuxième adresse voit le jour. C'est donc à République qu'elle s'est installée, avec les mêmes atouts que le premier restaurant : petits prix, pas trop mauvais et encore des petits prix. Jadis à cette adresse se trouvait Chez Jenny, une brasserie alsacienne qui était restée dans son jus des décennies durant. Véritable cabinet de curiosité, on pouvait y manger une assez bonne choucroute entourés d'objets hétéroclites accrochés aux murs, une déco chargée mais avec une belle âme. Evidemment, quand le Bouillon Pigalle rachète le lieu, ça dépoussière forcément. A présent, une grande baie vitrée fait office de façade. Et toujours, et inévitablement, une queue longue, longue, longue en ce dimanche vers 13h30. Je prends donc mon mal en patience et m'y glisse. Ca n'avance pas vite. Voilà 15 minutes que je poireaute - avec une petite pluie bien désagréable - quand un type tout de bleu vêtu demande le nombre de convives à chaque tablée.... "6", "3", "4"... puis moi, "1". Hé là, genre je deviens d'un coup un VIP, il ouvre le cordon et je passe devant tout le monde ! "Mais quand on est seul, on ne fait pas la queue monsieur "!. Energie, sourire, sympathie, un accueil de haut vol en plein coup de feu. La salle est archi-comble. Et plutôt bruyante, mais c'est aussi ça l'ambiance bouillon. La déco a définitivement été allégée grandement. Il ne reste aux murs, que les boiseries magnifiques mais qui ne sont pas du tout mises en avant. Comme à Pigalle, la déco n'a aucun intérêt particulier. Je suis installé bien confortablement sur la banquette, quand rapidement, Vanessa vient prendre ma commande avec un sourire communicatif ! La cinquantaine, cheveux grisonnants, tatouages sur les doigts et bronzage à rendre jaloux Jacques Séguéla, elle prend ma commande, non sans j'y ajouter des traits d'esprits et d'humour. Ca change des serveurs surexcités voire avinés que l'on peut rencontrer dans d'autres bouillons ! La carte tient ses promesses tarifaires et ne change pas bézef de celle de Pigalle... On retrouve les oeufs mayo "champions du monde" à 1,90€, les poireaux vinaigrette à 3,40€, la terrine de campagne à 3,90€, le bourguignon coquillettes à 9,80€, le steak frites à 10,50€.... On frôle le copier-coller. Très vite arrive mon entrée : les bulots mayonnaise. Le pain provient toujours de chez Poujauran, mais manifestement il a baissé en qualité pour répondre à l'énorme demande des bouillons. Dans l'assiettes, 7 escargots (4,80€) et la belle mayo. La cuisson est tout simplement par-faite ! Un bonheur un peu gâché par du sable ! Mal nettoyées, les bestioles perdent un peu de leur attrait. C'est dommage. Côté vin, pas de verre évidemment, j'opte donc pour un quart de sauvignon du pays d'Oc sans grand intérêt. (3,30€). A côté une tablée de touristes (oui ça existe encore), qui a commandé des crevettes mayo. Là je vois que ...
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