ROOSTER PAR FRÉDÉRIC DUCA
French Restaurant — Batignolles (Paris)



À propos
Rooster par Frédéric Duca, awarded 2 Gaultmillau toques and 14 Gaultmillau points, is a standout Mediterranean-inspired restaurant in Paris's Batignolles neighborhood. Chef Frédéric Duca, with a distinguished culinary background including stints at Michelin-starred restaurants, offers a vibrant menu showcasing fresh seafood and Provençal influences, featuring innovative dishes like blue crab with vadouvan avocado and scallops with artichoke and Noilly Prat sauce.
Mentions
Rooster - Restaurant - Paris - Gault&Millau
Le très solide chef Frédéric Duca a bien trouvé sa voie avec cette table à sa mesure, à taille humaine et à toques bien posées. L'allure d'un bistrot comme ses voisins de rue, mais la distinction et l'assiette d'un multi-toques qui connaît et sait valoriser le produit. On peut ainsi faire des repas de haut vol avec le crabe bleu mayonnaise au vadouvan avocat oseille glace crustacé, les saint-jacques aux blettes et artichaut sauce Noilly Prat, le ris de veau poireau et gnocchis au citron confit couteaux en persillade. L'addition rôde autour des 100 €, ce qui paraît, après la dernière cuiller du dessert chocolat glace tonka, assez mérité. En appât, le menu déjeuner, assez simple, à 49 €.
gaultmillau.com
Rooster par Frédéric Duca restaurant et bistrot chic paris 17
bestrestaurantsparis.com
Restaurant à Paris : avec Rooster, ce chef fait du quartier des ...
Restaurant à Paris : avec Rooster, ce chef fait du quartier des Batignolles le 17e arrondissement de Marseille Un repaire provençal à Paris De Marseille aux Batignolles en passant par New-York Une attrayante carte entre terre et mer Depuis 2019, Frédéric Duca propose une cuisine savoureuse puisée dans ses racines méditerranéennes. Lequartier des Batignollesà Paris est l’un de ceux qui s’est le plus transformé ces dernières années dans la capitale. Dans nos sortiesgastronomiques, ce n’est pas forcément celui vers lequel nous nous dirigions le plus spontanément. A tort, car avec lerestaurantRooster, du chef Frédéric Duca, installé rue Cardinet depuis 2019, tout près de laligne 14du métro, on découvre une très très bonne table qui nous offre un voyage en 1ère classe pour Marseille. À lire aussi Restaurants, épicerie, cave : cette rue de Paris a des airs de Cantal grâce à une famille de bistrotiers A quelques encablures, dutribunal de Paris, on se retrouve près duvieux Port, la ville natale de Frédéric Duca qui a réussi la gageure de créer un vrai repaire provençal dans la capitale. Natif de Marseille, Frédéric Duca a fait ses débuts au Petit Nice de Gérald Passédat où il devient chef de partie à 20 ans. Il poursuit ensuite son ascension dans d’autres grandes maisons, entre Paris et son Sud natal : Taillevent auprès de Michel Del Burgo, La Palme d’Or de l’Hôtel Martinez de Jean-Yves Leuranguer (MOF 1996) et Christian Willer à Cannes, puis au Fouquet’s dont Frédéric Duca devient Chef adjoint avant de devenir Chef à l’hôtel La Trémoille, à Paris. Il dirige pendant trois ans les cuisines du restaurant Marsan de la cheffe Hélène Darroze. Il obtient sa première étoile en tant que chef des cuisines de l’Instant d’Or (Paris) où il défend ses racines méditerranéennes. Il s’installe ensuite à NewYork pour quatre ans et devient chef de Racines dans le quartier de Tribeca. Le New York Times lui attribue alors deux étoiles.En janvier 2019, il choisit le quartier familial des Batignolles pour accueillir son premier restaurant, Rooster, avec sa femme Cécile. Le mistral ne souffle pas encore jusqu’ici mais c’est tout comme. En attendant, dans sa cuisine ouverte et surélevée, le chef, qui après les fourneaux enfile les gants pour boxer, prépare ses recettes favorites avec les poissons frais, encornets, fruits et légumes de saison qui l’entourent. Grignotage obligatoire pour commencer avec les incontournables panisses (7 euros) et les beignets de cervelle d’agneau inspirés de ceux que lui préparaient sa maman (16 euros). Si la carte oscille entre terre et mer, le poisson est de rigueur ce soir-là autour de la table. La lotte et ses petites pois, morilles, ail des ours et sauce américaine (46 euros) est délicieuses, relevée comme il le faut, sans rien de superflu. Le Saint-Pierre avec sa daube de poulpe, ses asperges blanches, son condiment d’agrumes et sa pointe de basilic soutient largement la comparaison. C’est un détail pour certains, mais la très belle vaisselle...
actu.fr