Orgueil
Restaurant gastronomique — La Roquette (Paris)



À propos
Orgueil, dirigé par le chef étoilant Eloi Spinnler, est un restaurant parisien acclamé qui propose un concept de restauration innovant avec une expérience gastronomique de style speakeasy et une carte bistrot ludique. Le restaurant propose un menu dégustation unique de sept services, mettant l'accent sur les principes de zéro déchet, les ingrédients de saison provenant de producteurs locaux et des plats créatifs comme une tarte tatin au miso, en faisant une destination culinaire incontournable dans le 11e arrondissement de Paris.
Mentions
Quand les chefs s'offrent une salle de restaurant pour deux ...
Quand les chefs s’offrent une salle de restaurant pour deux ambiances C’est une formule qui séduit de plus en plus de restaurateurs : ouvrir deux restaurants à la même adresse. Entre nouveau modèle économique et prise de conscience écologique, les chefs ont aux quatre coins de la France diverses raisons d’opter pour cette organisation. Oka à Paris “LA” Table d’Hôtes - Le Quatrième Mur à Bordeaux Le Petit Jardin à Montpellier Orgueil à Paris Bierbuik à Lille 27/4 à Paris Notre sélection Contact Contactez-nous Gault&Millau 37-39 rue Boissière75016 ParisFrance Appeler : 01 41 40 99 80 GaultMillau © 2025 Tous droits réservés Côté pile, il y a bien souvent une offre gastronomique. Côté face, la carte arbore une promesse davantage bistronomique. Des chefs à la tête de plusieurs adresses, cela ne date pas d’hier. Sauf que désormais, ils n’ont plus besoin de se dédoubler. Ils officient au même endroit pour deux tables bien distinctes. Un choix qui permet parfois d’optimiser les coûts des matières premières, en réalisant des achats communs pour les deux lieux. À plus d’un titre, l’objectif est économique, d’autant que cela réduit le gaspillage alimentaire. Les restaurateurs ambitionnent aussi de séduire une autre clientèle qui n’est pas nécessairement intéressée par un menu dégustation, préférant l’accessibilité d’un menu de bistrot. Le chef brésilienRaphaël Regoa décidé de tourner une page dans l’histoire de son restaurantOka, en changeant d’adresse, mais surtout en l’affublant de deux tables au sein du même endroit. En lieu et place de l’ancien Papillon de Christophe Saintagne, le cuisinier originaire de Rio de Janeiro articulera, d’un côté, son offre gastronomique, et de l’autre, une carte consacrée au goût du barbecue brésilien. La cuisine sera ancrée au milieu des deux univers s’imposant telle une séparation naturelle tandis que deux entrées bien distinctes sont prévues. “Je souhaitais placer la flamme au centre de mon projet. N’importe quel cuisinier doit savoir la maîtriser. Et puis, je veux présenter un lieu dans l’esprit de ces bistrots de quartier à Rio où tout le monde se retrouve” raconte le chef. Chez Fogo, on dévorera des morceaux brésiliens emblématiques tels que la picanha qu’un éleveur français fournira au chef Rego. L’ouverture est prévue pour la fin d’année. ©CharlotteJacobsen Deux ans après avoir mis le couvert sous le majestueux plafond voûté de l’Opéra national de Bordeaux,Philippe Etchebestannexait en 2017 à sa brasserie chic une table bien plus intime. Pour cette promesse gastronomique, il faut descendre au sous-sol et prendre place dans une somptueuse cave métamorphosée en salle de restaurant. Par service, seuls douze chanceux jouissent d’une vue privilégiée sur les fourneaux derrière lesquels la brigade du chef cathodique s’active pour mettre en œuvre un menu surprise en accord avec des vins soigneusement choisis. Le temps du déjeuner ou du dîner, on se sent privilégié dans cet écrin caché, quand les cuisiniers dressent une sauce...
gaultmillau.com
Le chef Eloi Spinnler, star des fourneaux et des réseaux - Elle à Table
Équipé tel un samouraï avec son harnais à couteaux, Eloi Spinnler détonne. Si son nom vous est inconnu, son visage, lui, vous est peut-être familier. Car le trentenaire n’est pas seulement chef, c’est aussi une star montante des réseaux sociaux depuis un peu plus d’un an, avec plus de 240 000 followers sur Instagram, et quasiment autant sur YouTube. Dans ses vidéos, tournées dans les cuisines de ses deux restaurants parisiens, Orgueil et Colère, il invite pêle-mêle, dans un joyeux bordel, des chefs qu’il apprécie (Juan Arbelaez), des artistes (le chanteur Hervé, l’humoriste Pablo Mira), ou encore des personnalités qui l’inspirent comme la militante écologiste Camille Étienne. Sans oublier des recettes simples et accessibles : apprendre à cuisiner les champignons de A à Z (y compris le pied) ou préparer un guacamole de brocolis – pour remplacer les avocats importés du bout du monde et dont l’agriculture est très gourmande en eau. Toutes comptent des dizaines de milliers de vues. Eloi vulgarise au maximum et donne des conseils utiles au quotidien pour une cible jeune et pas forcément habituée à cuisiner. Ce chef engagé – comme il se définit lui-même – a également eu l’idée de lancer une collaboration avec un ambassadeur tous les trimestres. Le concept : une vidéo, un plat spécial cosigné à la carte et une soirée de lancement chez Colère dont les revenus seront intégralement reversés à l’association représentée par le parrain en question. Fun et utile à la fois, un bon résumé de sa personnalité. Car Eloi Spinnler a un objectif : une cohérence maximale entre son discours et ses actes.Un chef qui ne manque pas de piquantBuzz mis à part, le trentenaire hyperactif est avant tout un chef talentueux. Eloi intègre l’École Ferrandi à l’âge de 13 ans ; il y passera sept années, enchaînant différents cursus. Il inaugure son premier restaurant, Orgueil, en 2022. Le second, Colère, ouvre ses portes en septembre dernier. On y croise des habitués d’Orgueil, des habitants du quartier, et bien sûr une clientèle plus jeune, drainée par les réseaux sociaux. Il faut dire que sa formule déjeuner entrée-plat-dessert à 28 euros est imbattable par les temps qui courent. Avec son équipe, le chef qui ne manque pas de piquant a eu l’idée d’un concept autour des épices (poivres et piments notamment) présents dans tous lesplats servis chez Colère, de l’entrée au dessert, de manière plus ou moins prononcée.« Mon objectif, c’est de faire évoluer les modes de consommation, tout en veillant au bien-être des membres de mes équipes, pour leur donner envie de continuer à nos côtés, et de les faire grandir avec nous. »À l’image de sa brioche roulette russe, où se cachent plusieurs condiments dont un au piment, sur lequel on tombe par surprise. Bon et ludique, c’est le credo de ce chef trublion, avec les deux piliers que sont son amour des petits producteurs et le zéro déchet. Marqué par ses expériences dans certains étoilés, où une volaille entière partait à la poubelle après avoir é...
elle.fr
Restaurants à Paris : cuisine vietnamienne, bistrot fromager... Notre ...
Nonos(8e)r Orgueil (11e)q Monbleu Père Lacheese (11e)r L’encrier by Do (12e)q Opla (14e)r Juni (14e)r OÙ BIEN MANGER À PARIS #101 — Restaurants, épiceries, cavistes, pâtisseries… Chaque semaine, notre critique culinaire distribue les “T”. Cette semaine au banc d’essai : Nonos, Orgueil, Monbleu Père Lacheese, L’encrier by Do… Le restaurant Opla, dans le 14e arrondissement de Paris.Photo Arthur CRESTANI pour Télérama ParEstérelle Payany Publié le 15 mai 2023 à 11h34 Mis à jour le 26 juin 2023 à 23h42 Paul Pairet, juré deTop chefdepuis trois ans, n’avait plus de restaurant en France, ses établissements étant implantés en Chine. En installant au sein du très chic Crillon cette enseigne au nom facétieux, il crée la surprise…Lire notre critique La mode des restaurants aux noms laconiques n’en finit pas, preuve en est avec cette enseigne qui a au moins le bon goût de ne pas s’appeler« Luxure »ou« Avarice », autres péchés capitaux…Lire notre critique Fusionner bistrot et fromagerie, en voilà une bonne idée ! La saison des raclettes et des fondues enfin terminée, place à d’autres délices plus estivaux à déguster sous le soleil de cette grande terrasse en retrait de la rue, entre Père-Lachaise et mairie du 11e…Lire notre critique Dans le quartier Aligre, on s’attable bien volontiers chez Do et Riz ou Do et Coco pour des spécialités vietnamiennes. Surprise : le troisième restaurant repris par Thi Thanh Huyen Vu (dont le nom de jeune fille est Do, ce qui explique tout) joue la carte bistronomique…Lire notre critique À lire aussi : Brasserie de luxe, curry de bœuf et bar à cocktails, nos bonnes adresses de la semaine à Paris Deux petites tables grises devant une façade vert d’eau, et quelques affamés qui attendent dehors leur bánh mì. Parmi les multiples adresses gourmandes de la rue Daguerre, Opla s’est fait sa place aux côtés de Joy, autre ambassade vietnamo-thaïe de la même famille…Lire notre critique Ici, pas de pita, de kebab ni de pizza, mais des lahmajun, ces fines galettes traditionnellement garnies de viande hachée et cuites au four que l’on retrouve de la Turquie à l’Arménie en passant par la Syrie…Lire notre critique
telerama.fr