Les Éditeurs
Restaurant français — Quartier De L Odeon (Paris)



À propos
Les Éditeurs est un prestigieux café-restaurant littéraire reconnu pour son concept unique au cœur du quartier de l'Odéon à Paris, offrant 200 places sur deux niveaux qui allient restauration, bibliothèque et expérience culturelle. Situé au carrefour de Saint-Germain des Prés, cet établissement est un lieu emblématique de la littérature qui sert de lieu de rassemblement pour les écrivains, les intellectuels et les amateurs de livres, offrant un espace multifonctionnel qui est à la fois un café, un restaurant, un bar et une bibliothèque.
Mentions
Les Editeurs | Café Restaurant Littéraire à Paris 6
C'est dans le quartier de l'Odéon que bat le cœur littéraire de Paris. C'est là tout naturellement que s'est ouvert le café restaurant Les Éditeurs. Restau-bibliothèque ou biblio-restaurant ? Difficile de définir en un mot les Éditeurs. C'est à la fois un café, un restaurant, un bar très lounge, un salon de thé, une bibliothèque… soit 200 places réparties sur deux niveaux au carrefour de l'Odéon et de Saint Germain des prés.Cette page n'est pas un article de la rédaction mais un simple référencement de l'établissement.
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Restaurant Les Editeurs - Best Restaurant Paris
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"C'était un peu cruel": les restaurants sans terrasse préparent leur ...
"C'était un peu cruel de voir ses voisins retravailler, nous sommes du mauvais côté", regrette M. Dorin, dont le restaurant "tourné vers l'intérieur" est établi sur la partie la plus étroite du carrefour de l'Odéon, dans le VIe arrondissement de la capitale. Il y a trois semaines, les restaurants et cafés ont pu accueillir des clients pour la première fois depuis le 29 octobre, en extérieur... Mais encore fallait-il avoir des terrasses adaptées. "Le trottoir est petit, il y a une piste cyclable, un passage de bus", énumère le patron des Editeurs, 65 ans, qui a jugé qu'avec seulement 20 places en terrasse, "sans possibilité d'extension", il n'aurait pas été rentable de rouvrir le 19 mai. Mais l'heure est enfin aux préparatifs pour les 35 salariés de ce café-restaurant littéraire et de ses 200 places assises, ouvert en temps normal "7 jours sur 7, 365 jours par an". "On est passé d'une vie à 200 à l'heure au canapé toute la journée à la maison", se remémore Jean-Philippe, maître d'hôtel, plus habitué aux services de 12 heures qu'à "regarder des séries assis chez soi". "Il faut remettre la machine en route, réapprendre le numéro des tables", ajoute en plein ménage Cyril, chef de rang. A deux jours de la réouverture, l'équipe s'affaire à un grand nettoyage de printemps: depuis la terrasse et ses chaises en cannage noir et blanc, encore empilées sous la tonnelle, jusqu'aux poussières entre les livres de la bibliothèque à l'étage. "Les salariés reprennent possession de leur outil de travail et on remet la salle en ordre", précise le patron. En cuisine, la légumerie et l'économat ont repris des couleurs. La livraison des produits frais a été réceptionnée le matin même, avant d'être stockée au sous-sol dans les réfrigérateurs restés vides pendant plus de sept mois. Entre deux préparations, le chef cuisinier Julien Deleury, 14 ans de métier dans l'établissement, trépigne d'impatience. "On a attaqué ce matin, c'est du bonheur", s'enthousiasme-t-il, "content de redonner vie à la cuisine" et de retrouver son équipe de cinq personnes. - "L'odeur a changé" - A quelques centaines de mètres, la réouverture mercredi des salles en demi-jauge est attendue "avec impatience" par le chef japonais Kazuyuki Fujinuma. Lorsqu'il entre dans son restaurant après sept mois de fermeture, ce chef cuisinier de 51 ans peine à trouver la lumière pour éclairer la salle principale. "Ça fait longtemps (...) et l'odeur à changé, c'est l'humidité", constate-t-il. Situé dans une ruelle du Ve arrondissement à quelques encablures de la Seine, son restaurant L'Initial, ouvert en 2015, est resté dans son jus depuis la fermeture consécutive au deuxième confinement. "La terrasse, c'était impossible pour nous, la rue est trop petite" explique-t-il avec philosophie à l'AFP. "J'attends depuis déjà sept mois, je peux encore attendre trois semaines", ajoute M. Fujinuma en nettoyant la cuisine. Après le sol et la vaisselle, son équipe de deux associés doit s'activer pour "remettre en place" l'étab...
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