Le Colimaçon
Restaurant français — Saint-Gervais (Paris)
À propos
Le Colimaçon est un distingué bistro parisien du quartier historique du Marais, abrité dans un bâtiment de 1732 où Beaumarchais a un jour conçu 'Le Mariage de Figaro'. Réputé pour sa cuisine française authentique et saisonnière mêlant techniques traditionnelles et créatives, le restaurant offre une atmosphère chaleureuse et romantique avec des plats signatures tels que les escargots à la persillade et le lapin aux pleurotes, le tout accompagné d'une sélection exceptionnelle de vins.
Mentions
Le Colimaçon : La halte gourmande du Marais - Le Relais du Louvre
Le Colimaçon : La halte gourmande du Marais 19, rue des Prêtres-Saint-Germain-l'Auxerrois75001 Paris +33 (0)1 40 41 96 42 contact@relaisdulouvre.com Parmi les adresses incontournables du Marais, voici un restaurant qui mérite une place de choix. Il s’inscrit parfaitement dans l’itinéraire que nous vous avions recommandé il y a quelques mois : Une promenade dans le Marais, qui démarre au Relais du Louvre et offre bon nombre d’agréments. (voir notre vidéo). La bâtisse date de 1732. Les murs pourraient raconter une longue histoire, en particulier celle de Caron de Beaumarchais qui a conçu le Mariage de Figaro, au premier étage du restaurant. Aujourd’hui, ce lieu chargé de mémoire accueille une table qui fait honneur à son héritage. Entre tradition et créativité, la cuisine proposée ici s’inscrit dans un cadre où le passé résonne encore, offrant une expérience à la fois gourmande et empreinte d’histoire. Le lieu offre une ambiance cosy et romantique, avec deux petites salles reliées par un escalier en colimaçon, d’où il tire son nom. Au Colimaçon on sert une cuisine maison élaborée avec des produits de saison sélectionnés au marché, mêlant tradition, inspirations du Sud-Ouest et touches provençales, pour une expérience authentique et savoureuse. Nous avons commencé notre dîner par une croustille d’escargots en persillade. Ces escargots de Bourgogne sont encoquillés dans une fromentine. C’est une pâte fine et croustillante en forme de coquille d’escargot, fabriquée artisanalement. C’est original car coquille et escargot se mangent ainsi plus aisément et forment un mélange bien équilibré. La persillade est assez douce ; beurre à 80%, persil, ail, échalote, sel, poivre. Nous avons également aimé le feuilleté de chèvre aux pommes et au miel. C’est aussi joli à l’œil qu’en bouche. Un mélange sucré salé bien équilibré. La carte ne mentionne pas l’origine du fromage. Nous avons accompagné ce repas d’un verre d’Anjou Village Rouge du château de Passavant 2016 et d’un verre de Reuilly blanc du Château de la Ferté. Les vins proposés sont de qualité, positionnés en milieu et haut de gamme. La carte est bien fournie avec des prix au flacon allant de 30 à 60€ , ainsi qu’une large sélection de grands vins d’exception. Le service est assez rapide. On nous apporte nos plats sans trop attendre. Nous avons commandé un fondant de joue de bœuf de 7 heures, accompagné d’une purée de pommes de terre à l’ail noir et d’une sauce bordelaise. C’est très réussi. Le goût est là. La viande est de qualité et, en effet, elle fond dans la bouche. Il s’agit d’un filet de Saint-Pierre servi avec un risotto et une bisque de homard. L’ensemble offre une belle harmonie de textures et des saveurs subtiles, où chaque ingrédient trouve sa place sans jamais l’emporter sur l’autre. Une assiette toute en finesse. Et pour finir, nous n’avons pas résisté à la tarte des demoiselles Tatin revisitée. On perd l’effet mouillé de la pâte brisée d’un tarte tatin traditionnelle car ici la pâte est dés...
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Le Colimaçon - Resto et bar à Paris, la critique Télérama
S’abonner pour voir la note ParLaurent Jézéquel Réservé aux abonnés Publié le 28 juin 2022 à 19h01 Mis à jour le 28 juin 2022 à 19h01 Bande-son d’une vie de bistrot Bande-son d’une vie de bistrot Quand les bobos investissent un lieu, c’est pour y passer du temps. Et comme au Colimaçon l’espace vital est restreint, on profite largement de leurs conversations, témoignages sociologiques sur la vie parisienne d’aujourd’hui. Extraits. Un père trop cool : “Hier j’ai fait un truc atroce : j’ai accompagné ma fille à une sortie scolaire et me suis rendu compte qu’elle n’en avait rien à foutre de l’art !” Deux copines : “C’était trop gris ici ; on est parties une semaine dans les îles.” Une jeune maman pose son bébé sur le bar : “Ça ne te dérange pas de le tenir pendant que je vais fumer une clope dehors ?” Un mec passe Cette critique est réservée aux abonnés sans engagement, résiliable à tout moment Offre exclusive :0,99€/mois pendant 3 mois
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Les Pieds dans le Plat | Paris 4e : tout ... - Le blog de Gilles Pudlowski
Le Colimaçon « Paris 4e : tout est bon dans le Colimaçon » Le Colimaçon A propos de cet article Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Donnez-nous votre avis ! Le Colimaçon Didier Jourdan, Vicky et Thierry Nicolas © AA Quand notre correspondant de la Côte d’Azur, Alain Angenost, est en goguette à Paris, il aime se balader dans le Marais. Suivons-le rue Vieille du Temple… Croustilles d’escargots en persillade © AA Situé au cœur historique de Paris, le Marais est riche en beaux hôtels anciens. Ainsi, l’exquise bâtisse qui abrite le restaurant le Colimaçon et date de 1732. Le maître maçon Louis Le Tellier y construisit sa demeure face à l’ancien hôtel des Ambassadeurs, d’où, au premier étage, Caron de Beaumarchais conçutle Mariage de Figaro. Didier Jourdan, et Nicolas Thiery lui ont redonné vie avec brio. Noix de Sain-Jacques en coquilles © AA Le premier, petit-fils de charcutier et de viticulteur, 35 ans d’expérience dans les métiers de bouche, est aussi chef d’entreprise (Achat Plus). Le second, 32 ans, dont le père possède plusieurs hôtels parisiens, a gravi tous les échelons dans la restauration, de plongeur à cuisinier, en passant par le service en salle. Les vins sont sa passion, il en a même fait un commerce, à commencer par le cahors de son grand-père. Comptez sur lui pour de belles et vineuses découvertes. Asperges blanches, tulipe de parmesan et œuf poché © AA On aime l’atmosphère conviviale du Paris d’antan qui se dégage des deux petites salles reliées par l’escalier en colimaçon. Le plus? Une cuisine faite maison, avec des produits de saison glanés au marché, une louche de tradition, une bonne cuillerée de Sud-Ouest, une pincée de Provence ou d’autre part: tout se fait là dans la simplicité, la franchise et le savoureux : croustilles d’escargots en persillade, asperges blanches, tulipe de parmesan et œuf poché, burratina des Pouilles, huile de truffe, noix de saint-jacques en coquilles, crème de citron, carré d’agneau en croûte d’épices. Carré d’agneau en croûte d’épices © AA La cuisse de lapin de Vendée, farcie aux pleurotes grises et foie gras du Quercy, roulée dans le lard à l’ancienne puis rôtie délicatement au four, est le plat phare de la maison. Il est servi durant toute l’année. Le pain perdu de la grand-mère de Didier Jourdan lui ayant laissé un souvenir impérissable, il le propose parmi les desserts faits aussi maison, en y ajoutant du caramel au beurre salé et de la glace au caramel à la fleur de sel de Guérande, c’est plus gourmand. Cuisse de lapin farcie aux pleurotes © AA Au service, la malicieuse Vicky conte la carte comme personne, raconte le vin du moment avec aisance et fait passer un bien joliment entre les mets, avec force sourire et humour finaud. Pain perdu au caramel façon grand-mère © AA Nom (obligatoire) Email (ne sera pas publié) (obligatoire)
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