La Maison Bleue
Restaurant français — 10e arrondissement (Paris)



À propos
La Maison Bleue est un bistrot de quartier charmant situé sur la place Franz Liszt dans le 10e arrondissement, offrant une cuisine française contemporaine. Avec sa grande terrasse ensoleillée face à l'église Saint-Vincent-de-Paul, l'établissement séduit par son ambiance décontractée et conviviale. Le restaurant mise sur des produits frais, notamment des poissons bretons et des légumes grillés au four à braise. La carte propose une dizaine d'entrées et autant de plats, avec une attention particulière portée aux préparations de poissons et aux légumes. Le dimanche, un brunch généreux à 25€ attire les amateurs, proposant des œufs brouillés aux truffes et des plats grillés. Créé par trois amis passionnés, l'établissement incarne parfaitement l'esprit d'un bistrot parisien contemporain.
Mentions
La maison bleue : terrasse et four à braise, les atouts de cette jolie cantinedu 10e
* Accueil * Autre * La maison bleue LA MAISON BLEUE : TERRASSE ET FOUR À BRAISE, LES ATOUTS DE CETTE JOLIE CANTINEDU 10E Terrasse et four à braise, les atouts de cette cantine de quartier du 10e * * Bien Par Estérelle Payany Publié le 22 août 2015 à 00h00 Mis à jour le 26 novembre 2024 à 16h17 En retrait de la rue La Fayette, à l’ombre de l’église Saint-Vincent-de-Paul, un vieux troquet s’est transformé en bon plan de quartier. Une dizaine de tables dehors, un chef qui veut bien faire (10 entrées, 8 plats, 4 salades…) et un atout estival indéniable avec son four à braise. C’est à lui que l’on doit le moelleux des courgettes et le fondant des aubergines, ainsi que la tendreté de la lotte, particulièrement remarquable avec sa sauce vierge. L’ADN du lieu tangue entre bistrot classique (œufs mimosa dignes d’être saucés avec leur mayo assurément maison, terrine du chef honorable) et fusion food un peu hasardeuse (dommage pour le tartare de dorade au houmous) : en privilégiant poisson – tout vient directement de Bretagne –, rôtissage et légumes, vous passerez un bon moment. Du lun. au mer. de 8h à minuit, du jeu. au sam. de 8h à 1h du matin, dim. de 8h à 23h - Menu déj. 16,50€, carte 40€ env., brunch dim. 27€ - Option vég. PLUS D'INFOS * Nom La maison bleue * Style Bistronomie, Cuisine française * Prix - de 30 € * Lieu 7, Place Franz Liszt, 75010 Paris * Autre Le magazine en format numérique Lire le magazine Les plus lus Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner
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La Maison Bleue
Forcément, le nom de ce resto vous donne immédiatement envie de chantonner la chanson de Maxime Le Forestier. Et pourtant, avec son immense terrasse, ses murs en faux bois et ses serveurs en polo bleu, La Maison Bleue nous donne plus l’impression d’être dans un café du Cap-Ferret que dans un dinner de San Francisco. Le cadre est très joli, avec un petit air de vacances, grâce à ses chaises et ses banquettes bleu ciel en rotin maison Gatti, son beau mobilier en cuir à l’intérieur et surtout sa grande terrasse ensoleillée qui donne sur l’église Saint-Vincent-de-Paul. A la carte ? Une cuisine de bistrot parisien assez classique, comme ce midi-là dans le menu à 16,50 € : des sardines bretonnes accompagnées de légumes braisés et un cheesecake, frais et bon, sans être incroyable. Notre collègue semble apprécier sa saucisse de cochon Capelin, jus réduit, purée de pommes de terre maison (16,50 € tout de même) alors qu’à côté de nous des copines très « 10e » papotent autour d’une jolie salade Caesar (13,50 €). Un bistrot de quartier de son époque pour lequel on ne traverserait pas tout Paris mais que l'on est content de trouver pour déjeuner le nez au soleil.
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La Maison Bleue | Paris Update
LA MAISON BLEUE BLUE BISTRO IN SEARCH OF AN IDENTITY November 29, 2015By Heidi EllisonRestaurants UPDATE, JUNE 1, 2022: Needing to catch a train from the Gare du Nord soon after lunchtime, I met up for lunch with two friends at La Maison Bleue after reading the Paris Update review. I am pleased to report that all three of us loved the very reasonably priced set menu for the day, with sumptuous smoked salmon on a bed of potatoes fried with onion as a starter, followed by wonderfully moist chicken served with a delicious creamy sauce, all for only €17. Sitting on the terrace in the sun, sipping rosé, enjoying good conversation and watching the passersby made for a very pleasurable pre-train journey experience. Nick Hammond La Maison Bleue is located on the Place Franz Liszt, a square I have never seen in all my years in Paris, even though it is only a 20-minute walk from where I live. Just goes to show how many surprises Paris holds even for longtime residents. I met my lovely nearly-18-year-old goddaughter Oona there for dinner. We both liked the homey but fresh-looking white-painted interior, with its bookshelves, mirrors, framed photos, rocking chairs and bright-blue accents. And we liked the friendly waiter with a twinkle in his eye. Oona is a vegetarian, but there were plenty of dishes on the menu to tempt her. For the first course, we shared an “antipasti” (nothing Italian about it, but that’s what it was called) platter. We both enjoyed the slices of grilled butternut squash and the caviar d’aubergines (baba ganoush), but Oona couldn’t eat the tarama (made with fish eggs, of course). I liked it even though it was refrigerator-cold, but didn’t find it exceptional. For the main course, she chose the grouillade (a fancy name for scrambled eggs, usually called œufs brouillés), made with organic eggs and fresh “melanosporum” truffles. It was generously flavored with truffles and had extra slices on top. She loved it, but I worried about her not having enough to eat, since it came with only a small salad of sucrine (a variety of romaine lettuce). My main course was much heartier, or at least the meat component – gigue de chevreuil (leg of venison) – was. The celery purée was just a meager swish on the plate, but it was supplemented with lovely roasted potatoes. The meat itself was distressingly dry, to the point where I had trouble swallowing it. The gravy and the tasty beet-and-raspberry sauce helped some, but there was no excuse for the extreme dryness of the meat. I pointed this out to the waiter, who was surprised that I hadn’t finished it and seemed concerned but didn’t offer anything to make up for it – a free coffee or dessert, for example – which I thought was in order, especially considering the €27 price tag on the venison. For dessert, Oona had the “café très gourmand,” with tea (extra charge!) instead of coffee. She enjoyed tasting the three small desserts: a chocolate mousse, crème caramel and the “legendary” tiramisu with speculoos (spice cookies) and Nutella, all of which were very good but not highly original. I would say the same about my choice: “David B’s all-chocolate surprise,” which consisted of a brownie-like cake, chocolate mousse and some chocolate candies. The Maison Bleue has potential, but the results on the night we ate there were uneven. It lacks a strong culinary identity and doesn’t really live up to its own hype (“legendary,” etc.). I won’t go out of my way to go back, although if I found myself nearby, I would certainly give it another chance. Favorite
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