Chez Pradel
Restaurant français — Grandes-Carrières (Paris)



À propos
Chez Pradel, un bistro parisien historique depuis 1897, a été revitalisé par le chef Karim 'Coco' Hakim, offrant une cuisine française traditionnelle exceptionnelle à un prix remarquable. Reconnu pour son charme authentique de quartier, le restaurant sert des plats exceptionnels comme la bavette parfaitement grillée, les frites maison et des spécialités saisonnières, créant une expérience de restauration chaleureuse et conviviale qui célèbre la cuisine classique de bistro.
Mentions
Chez Pradel, bistrot extra-Ordener – L'Express
Depuis 1897, Chez Pradel assure son rôle de repaire de quartier. Et depuis, presque rien n'a changé : la devanture boisée, la mosaïque au sol et le grand zinc certifié d'époque. Derrière son tablier, Karim Hakim - chef et propriétaire depuis deux ans - se charge lui-même de l'accueil : "vous pouvez prendre une entrée à deux, ici on est généreux". Conseil qui se révèle avisé lorsque débarque un hareng pomme à l'huile maousse costaud. Le poisson est ferme sous la dent, les pommes vapeurs tièdes, le tout recouvert par une soyeuse vinaigrette maison à la moutarde à l'ancienne. Un modèle du genre. Chez Pradel, un bistrot à deux pas de la Mairie du XVIIIe. ©/Jordan Moilim On passe de l'arrête au bifteck avec le pavé de rumsteak de Blonde d'Aquitaine escorté de frites paysannes. Premier coup de lame : cuisson parfaite. La viande, tendre, forme une belle idylle avec son jus de viande corsé aux accents de romarin. Les frites ? Certainement parmi les meilleures de Paris. Deux bains de cuisson, un monument de croustillance au bon goût de purée, parsemées de thym et de sel de Guérande, un régal. Pour terminer, le chef envoie une rustique tarte fraise-rhubarbe. Les fruits lentement confits au four relâchent leur jus sucré et acidulé. Simple et efficace : un vrai dessert de cuisinier. À 16,50 ¤ le menu entrée-plat-dessert, Chez Pradel, la formule est bien ordonnée.
lexpress.fr
Chez Pradel - Paris 18
sortiraparis.com
La chronique de François Simon. Chez Pradel, le plaisir vrai
latribune.fr