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Good choice

Le Petit Cambodge

Restaurant 10th arrondissement (Paris)

4.3 (2672)
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3 mentions
Open for lunch12:00
€€
Le Petit Cambodge
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À propos

Le Petit Cambodge is an iconic Cambodian restaurant in Paris's 10th arrondissement, located near Canal Saint-Martin. Founded in 1997 by Damrong Sar and Kunthel, now managed by their daughter Kirita and her husband Christian, the restaurant offers authentic and affordable Asian cuisine. Specializing in Cambodian and Vietnamese dishes, particularly bo bun, it features a varied menu with dishes around 12-13€. Its colorful terrace and relaxed atmosphere make it a favorite among neighborhood locals. The restaurant also carries symbolic significance, having been one of the locations affected during the November 13, 2015 attacks, and now embodies the resilience and community spirit of the area.

Mentions

radiofrance.fr

"On est un quartier de résistants" : dix ans après le 13-Novembre, le souvenir toujours vif des attentats dans le 10e arrondissement de Paris

Le 13 novembre 2015, des commandos terroristes islamistes plongeaient les rues de Paris dans l’horreur : 132 morts, du Bataclan, au Stade de France, jusqu’aux terrasses bondées des 10e et 11e arrondissements. Dix ans plus tard, franceinfo est retourné dans le Xe arrondissement. Le 10e arrondissement de Paris, à quelques pas du canal Saint-Martin, c'est un quartier jeune, vivant, branché, et endeuillé la nuit du 13 novembre 2015, quand les terroristes ont ouvert le feu sur plusieurs bars et restaurants, mitraillant les terrasses, les clients, les employés. Dix ans ont passé, le quartier vit normalement, les établissements ciblés ont depuis rouvert après quelques travaux, certains ont fermé ou changé de propriétaire. **>>TEMOIGNAGE. "C'est trop dur à porter" : 10 ans après les attentats du 13-Novembre, le patron de la Belle Équipe et sa fille partagent leur peine indicible **À l'angle de la rue Alibert et de la rue Bichat, deux terrasses se font face, celle du restaurant le Petit Cambodge et celle du bar le Carillon. Il y a eu des morts ici, comme le rappelle la discrète plaque commémorative, posée sur un mur, au carrefour. Une dame arrive d'un pas pressé, c'est Caroline. Elle a emménagé dans le quartier en 2013, elle a vécu le 13 novembre 2015. Le souvenir est précis, indélébile : "j'ai vu des corps". Elle se souvient en particulier du silence ce soir-là : "Un silence de mort. Tout était statufié. Je ne l'ai jamais raconté". Elle regarde, toujours méfiante, ces terrasses, qui ont renoué avec le quotidien, avec les habitués, fidèles, venus profiter des quelques rayons de soleil accordés par cette matinée d'automne. "Je me dis, mais ils n'ont pas peur de rester là, assis ? Moi je ne vais jamais m'asseoir là. Terminé. C'est collé au lieu. Si je m'assois à une terrasse, je revis ça. Je ne peux pas". Elle tourne les talons, elle n'avait pas très envie finalement de parler de tout ça. "QUAND JE VOUS EN PARLE, J'AI DES FRISSONS" Mais Christian est là, rue Bichat. Lui, il marche d'un pas tranquille. Il vit dans le quartier depuis 1981. Une figure du coin. Tout le monde le salue. Lui aussi, il était là, le 13 novembre 2015 : "Quand le gars a flingué ici, j'ai vu". Depuis, Christian "ne passe jamais de l'autre côté". "L'autre côté", c'est le trottoir du Carillon. "Quand je vous en parle, j'ai des frissons, dit-il. C'est gravé à vie comme on dit". Et il ajoute : "Jusqu'à la mort". Sa voisine promène justement son chien sur le trottoir d'en face, il la salue de la main. C'est Carmela, écossaise et argentine "mais surtout parisienne depuis 30 ans", dit-elle. Elle habite rue Bichat, à cinquante mètres du Carillon. Encore une fois, très spontanément, elle livre ce bref récit d'une nuit d'horreur, l'histoire collective de ce quartier. > "On a vu les gens mitraillés, tombés par terre et donc morts." Carmela nous raconte comment le quartier a repris le dessus petit à petit, non sans difficultés : "Il y a pas mal de gens qui sont partis, quelques mois après, parce qu'ils étaient traumatisés par les événements". L'un de ses enfants a dû suivre une thérapie. "Il ne s'en sort pas encore complètement", dit-elle. Elle se souvient aussi des femmes voilées du quartier qui n'osaient plus sortir après les attentats. "Elles avaient peur d'être jugées, se rappelle Carmela, qu'on leur parle mal. Mais il y a eu de la résistance, on a essayé de se retrouver, d'en parler entre nous. Nous sommes un quartier de résistants". La résistance, c'est aussi rester fidèle au Carillon et au Petit Cambodge. Carmela était une cliente avant le 13-Novembre. Elle l'est restée depuis. Non loin du Canal Saint-Martin, il y a un restaurant Tasty Crousty, la grande mode culinaire du moment. Du poulet pané, du riz, et une "sauce atypique", nous confie ce garçon qui patiente devant l'établissement avec un groupe de jeunes. Ils ont 16,17, 19 ans. Ils étaient enfants le 13-Novembre 2015, mais ils en ont tous gardé quelque chose. "J'étais choqué", raconte l'un d'eux. "Je voyais que mes parents avaient peur et du coup ça me faisait peur", abonde un second. Une jeune fille se rappelle avoir grandi avec une sécurité renforcée dans les écoles : le plan Vigipirate. > "J'avais très peur en 2015, mais maintenant je ne me dis pas que des attentats vont arriver en France, il ne faut pas rester bloqué sur ça. Il faut aller de l'avant." À quelques centaines de mètres, nous retrouvons la terrasse du Carillon. Une habitante du quartier, depuis presque 30 ans, nous accueille à sa table. Elle veut nous parler de son quartier : "C'est un village, on se connaît tous. Le Carillon c'est un endroit où je viens très souvent". Dix ans après, elle tient à dire que "c'est un bar kabyle" et qu'en face "ce sont des Cambodgiens". "C'est un quartier qui réunit plein de gens qui sont venus s'installer là parce qu'ils aiment ce pays", souligne-t-elle. Un pays qu'elle veut "multiculturel" et "ouvert aux autres". Les attentats "n'ont pas du tout rigidifié notre approche de l'autre", insiste cette habitante. Cette dame sirote un verre de vin blanc, sereine, sans peur. Elle est revenue très vite au Carillon, à sa réouverture, quelques mois après le 13-Novembre. Pour une raison : "C'est la famille !". Nous lui posons une question un peu maladroite : Est-il permis de trinquer ? Réponse, sans l'ombre d'une hésitation : "Absolument ! D'ailleurs, je peux vous payer un verre si vous voulez !".

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Nos meilleurs restaurants proches du canal Saint-Martin (Paris) – Fooding®

BISTROT IODÉ, RESTAURANT SRI-LANKAIS, COMPTOIR À LÈCHE-DOIGTS… LE FOODING VOUS LIVRE LES MEILLEURS RESTAURANTS AUTOUR DU CANAL SAINT-MARTIN, À BOULOTTER À PLEINES DENTS ! ÅKE TABLE & VIN Néobistrot, Bar à vins / Caves à manger De 16 à 35 € De 12h à 14h30 (sauf samedi) et de 18h30 à 23h. Fermé dimanche. Dans leur cave à manger champêtre (murs blanchis, parquet patiné), la talentueuse Linda Granebring et son complice Julien Jack Alda enjaillent la faune du canal Saint-Martin avec des assiettes délicieusement folklo et des canons sans chimie. 8, rue Marie-et-Louise, Paris 10e – M° Jacques Bonsergent, Goncourt CAVALIER Cuisine d’auteur, Bar à vins / Caves à manger, Planches / Assiettes froides De 36 à 50 € De 19h à 5h (2h mardi et mercredi) ; tapassiettes jusqu’à 22h30, grignotages jusqu’à 5h. Fermé dimanche et lundi. Lancé au grand galop jusqu’au bout de la nuit, Cavalier desserre les ceintures en sautant les heures classiques de fermeture ! Dans la salle longue comme un jour sans faim, une ligne de démarcation souligne l’hybride nature des lieux : à gauche, mur terracotta, bouteilles rétroéclairées et comptoir marbré, ambiance noctambar à cocktails ; à droite, mood resto épuré avec tabourets hauts et assiettes à tapasser. 22, rue du Faubourg-du-Temple, Paris 3e – M° République EARLY JUNE Bar à vins / Caves à vins, Pop-up / Résidence De 16 à 35 € De 18h à 1h (service de 18h à 23h). Fermé lundi et mardi. À deux coups de pagaie du canal Saint-Martin, Camille Machet et Victor Vautier (ex-SAaM) tiennent bon la barre de leur cave à manger naturophile – murs écorchés vifs, mobilier blond, quilles pendues au mur. Leur credo ? Une cuisine tournante confiée à des chef·fe·s venu·e·s du monde entier, annoncé·e·s quelques jour à l’avance sur Instagram. 19, rue Jean-Poulmarch, Paris 10e – M° Jacques-Bonsergent GROS BAO Chinois De 16 à 35 € De 12h à 14h30 (sauf samedi) et de 19h à 22h30. Fermé dimanche et lundi. « No dogs, no rats, no cats, just chinese food » : telle était la promesse scandée à tout-va par Céline Chung et Billy Pham en 2019, à l’ouverture de Petit Bao rue Saint-Denis. Leur credo ? Terrasser les préjugés sur la bouffe chinoise en nous faisant kiffer une vraie cuisine popu. Autant dire qu’avec Gros Bao, les deux acolytes ont sorti l’artillerie lourde ! 172, quai de Jemmapes, Paris 10e – M° Jacques-Bonsergent, République HAIKARA Japonais De 16 à 35 € De 12h à 14h30 (sauf samedi) et de 19h à 22h30. Fermé dimanche et lundi. Le chef Sho Miyashita et son acolyte Jérémy Mégaly ont garé leur food truck Munchies en 2020 pour monter, en dur, cet izanacaille. Autrement dit, un izakaya bistromorphe (comptoir en planches, banquettes en Skaï rouge, miroirs piquetés) où fusent des tapassiettes nippones sous influence junk. 82, rue de la Folie-Méricourt, Paris 11e – M° République, Parmentier HOLLY BELLY 5 Coffee shop De 16 à 35 € Tous les jours, de 9h à 17h (service jusqu’à 16h). Un vol direct pour les US, l’empreinte carbo en moins ? On embarque avec les cool kids du 10 chez Holly Belly 5, pour un sacré breakfast dealé à toute heure par Sarah Mouchot et Nico Alary. 5, rue Lucien-Sampaix, Paris 10e – M° Jacques Bonsergent KOLAM Sri-lankais De 16 à 35 € De 11h30 à 15h (15h30 samedi). Fermé dimanche et lundi. Où catwalker bien ravitaillé ? Sur le comptoir de Kolam, nano-cantine sise rue de Lancry, qui ne craint pas de saloper les bonnes sapes de sa faune branchouille avec une street food sri-lankaise. Aux manettes et à la tambouille, Lahiru Weladawe, ancien créa marketeux bien dans ses sneakers – en collab’ avec Adidas. 27, rue de Lancry, Paris 10e – M°Jacques Bonsergent LE CHATEAUBRIAND Cuisine d’auteur, Néobistrot Plus de 51 € De 12h à 14h (samedi uniquement) et de 19h à 23h. Fermé du dimanche au mardi. Le vrai bonheur coûte peu ; s’il est cher, il n’est pas d’une bonne espèce. » Pour sûr, François-René se raviserait en mettant la bouche aux mets savants du Chateaubriand ! Où le crack basque Iñaki Aizpitarte, également aux manettes du Dauphin, continue de faire parler la poudre dans son fief faubourgeois à banquettes en cuir et luminaires boules. 29, av Parmentier, Paris 11e – M° Goncourt LE DAUPHIN Bar à vins / Cave à manger, Tapassiettes De 36 à 50 € De 12h à 14h (sauf mardi et samedi) et de 19h à 22h30. Fermé dimanche et lundi. Caveau de marbre signé par les archis Rem Koolhaas et Clément Blanchet, l’annexe tapasseuse d’Iñaki Aizpitarte (Le Chateaubriand) roule des mécaniques ibériques pour s’émanciper de la maison mère… 131, avenue Parmentier, Paris 11e – M° Goncourt LE GONCOURT Bar à vins / Cave à manger, Planches / Assiettes froides De 36 à 50 € De 18h à 23h. Fermé lundi et mardi. À première vue, une énième cave à grailler, qui plus est dans un quartier déjà bien doté, avec son inévitable exhib’ de flacons naturistes, sa vaisselle brocantée et ses tapassiettes au prix d’un rognon sain sur le marché noir… 10, rue des Goncourt, Paris 11e – M° Goncourt LE PETIT CAMBODGE Cambodgien, Asiatique De 16 à 35 € De 12h à 14h30 et de 19h à 22h30 (non-stop de 12h à 22h30 samedi et dimanche). Depuis 1997, Damrong Sar et Kunthel, sont les tôliers du 10e avec leurs cinq restos cambodgiens, aujourd’hui gérés par leur fille Kirita et son mari, Christian, ou mok slagn, le ‘‘visage pâle’’. Alors dans toute cette affaire, on commence par l’originel, Le Cambodge bien rencardé avec sa grande terrasse à quelques encablures du Canal Saint-Martin. 20, rue Alibert, Paris 10e – M° Goncourt LE VERRE VOLÉ Bistrot, Bar à vins / Cave à manger De 36 à 50 € Tous les jours, de 12h30 à 14h et de 19h à 22h30. Qu’est-ce qui n’a pas été écrit sur le mythique Verre Volé, cave à manger de la première heure, orchestrée depuis plus de vingt piges par Cyril Bordarier et Thomas Vicente ? Au panthéon du cool international, cette institution bistrotière de la rue de Lancry rameute moins les fidèles pour son contenant (carrelage banal, cuisine-placard ouverte, mobilier en Formica dépareillé) que son contenu : des vins hautement naturels et une popote canaille. 67, rue de Lancry, Paris 10e – M° Jacques Bonsergent MINI BAR Bar à vins / Cave à manger, Tapassiettes De 16 à 35 € De 19h à 23h. Fermé mardi et mercredi. Petit par la taille, grand par la graille ! Sébastien Fleury, ancien sommelier chez Martin non loin de là, et Matt Hiltemann, cuistot passé par Quo Vadis à Londres, fourmillent d’idées XXL dans leur tanière baravinée – pierres gratouillées, comptoir filant tout marbré, miroirs brocanteux. 23, rue de Lancry, Paris 10e – M°Jacques Bonsergent PLAN D – DWICH & GLACE Lèche doigts, Sandwichs / Bagels, Glaces, Végi Moins de 15 € Tous les jours, de 12h à 16h et de 19h à 21h30 (non-stop samedi de 12h à 21h30, dimanche de 12h à 19h). C’est la fête de l’entrepain à deux pas du canal Saint-Martin, où Alice Tuyet (ex-podcast Patate) et Christian Stori envoient bouler les préjugés sur les sandwichs végi ! De pimpants casse-dalles avec les miches à l’huile d’olive du MOF Frédéric Lalos, parfaitement ficelés par le chef Erwan Crier (passé par Le Royal Monceau) depuis le comptoir à percée colorée. 22, rue des Vinaigriers, Paris 10e – M° Jacques Bonsergent, Gare de l’Est ROUND Lèche doigts, Burgers Moins de 15 € Tous les jours, de 9h30 à 15h (16h30 dimanche) et de 19h à 22h (22h30 vendredi et samedi ; sauf dimanche). On va se faire cuire un œuf ? Direction Round, à quelques mètres du Canal Saint-Martin, Olivier Ottavi et, désormais, Simon Choquet ont installé leur nid de skateurs californiens, cuisine grande ouverte, briques blanches au mur et basses qui tabassent dans les oreilles. 25, rue Louis-Blanc, Paris 10e – M° Louis Blanc SAAM Lèche-doigts, Coréen, Taïwanais, Asiatique De 16 à 35 € De 12h à 14h30 (16h30 samedi) et de 19h à 22h30. Fermé lundi. Murs râpés, sol brut, tables en Formica… Esprit déglingue, es-tu là ? En tout cas, dans l’esprit fast-good, difficile de trouver mieux que cette cantine à double entrée : coréenne avec le dupbap (bol de riz aux légumes sautés, crudités, soja, jaune d’œuf), à garnir par

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Le Petit Cambodge

* * Bravo Par Roland Zemour Réservé aux abonnés Publié le 28 juin 2022 à 19h52 Mis à jour le 28 juin 2022 à 19h52 Avec ses tables et ses chaises de jardin multicolores, ce restaurant attire l'oeil du passant. A l'intérieur, les hautes tables d'hôtes et leurs tabourets attendent les hordes de bobos, du midi et du soir, qui ont flairé le bon plan branché à petits prix. Ici, la plupart des plats proposés (et Dieu sait qu'il y a le choix) constituent un repas et ne dépassent pas les 13 €. Je m'installe en terrasse et aussitôt on m'apporte la carte et de quoi noter ma commande. Histoire de goûter, je prends des pâtés impériaux (porc et crevettes), six rouleaux copieusement garnis de soja frais, salade et menthe. Pas du réchauffé mou de la pâte mais du fait minute sans une once d'huile, parfumé et savoureux ! Le plat, un curry de boeuf, légèrement relevé, se tient tout aussi bien et le bo bun est top. Une belle cantine asiatique, meilleure et plus plaisante que la maison mère (Le Cambodge). Allez-y les yeux fermés et la bouche ouverte, à toute heure de la journée ! Cette critique est en accès libre aujourd'hui Abonnez-vous pour en profiter tous les jours S'abonner, 9,99€ 1,99€/mois pendant 1 an sans engagement, résiliable à tout moment Ou Offre exclusive : 0,99€/mois pendant 3 mois Voir toutes nos offres PLUS D'INFOS * Nom Le Petit Cambodge * Style Cuisine du monde * Prix - de 30 € * Lieu 20, rue Alibert, 75010 Paris * Cadeau de Noël Le magazine en format numérique Lire le magazine Les plus lus Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner

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tuesday12:00 - 23:00
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